Quand le traducteur professionnel devient écrivain:
L’esprit est l’intervalle qui se trouve entre la terre et les étoiles. Il est la pluie qui donne la vie mais aussi les nuages qui nous cachent les étoiles. Nous naissons sur terre et nous devons savoir mourir dans les étoiles, en dissipant ces nuages. Il suffit de se laisser guider par notre étincelle divine pour apprécier ce voyage paisible.
L’alcool, c’est comme le feu. C’est joyeux et rassurant, mais c’est dangereux car ça brule et tue. Il faut faire preuve de dextérité et de maîtrise pour se réchauffer sans se brûler. L’alcool doit être vertical, dans la profondeur et l’élévation du moment présent, et non pas horizontal, dans la superficialité et la monotonie du quotidien.
Peu de différence entre l’argent et la viande séchée. En temps d’abondance, il faut faire ses provisions pour se faire plaisir dans les moments de disette. Avoir trop de viande séchée ou vouloir la conserver indéfiniment est inutile car elle pourrira et fera mourir de famine votre semblable.
Auteur: Charles Chaouat - 2016
Ce blog cherche établir un pont entre la traduction professionnelle et la culture. En effet, dans le monde actuel connecté, la traduction est la clef qui permet de diffuser ses idées. Cependant, cet exercice n’est pas simple, il requiert une maitrise et une culture de la langue que peu de personnes possèdent. Différentes pistes de réflexions sur l’écriture et la culture sont proposées pour mieux comprendre les enjeux de la traduction, qui fait le lien entre l’auteur et le monde entier.
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